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Avec la disparition d'Anthony Phelps, la poésie haïtienne voit s'éteindre l'une de ses étoiles les plus éclatantes

Photo du rédacteur: Renouvo DemokratikRenouvo Demokratik

Par : Wilfrid Supréna.

Wow …quelques semaines seulement après Frankétienne!

Sur cette photo de 1962 publiée plus haut, l’homme à la pipe qu’on a cru être Jean Do est bien Anthony Phelps dans sa prime jeunesse.

Il vient lui aussi de tirer sa révérence. L’étau se resserre de plus en plus sur cette génération de patriotes lettrés qui ont fait du patriotisme, du progressisme et du socialisme leur cheval de bataille ‘ange de la mort aujourd’hui, en son centre, s’active pour enforcer son glaive impitoyable dans le cœur de ces justes qui ont vu juste vivant et mourant en justiciers pour la Renaissance de cette terre où la Liberté flétrie aujourd’hui fleurira coûte que coûte demain.

Ils s’en vont les uns après les autres. Les patriarches. Les Aînés ayant défié la dictature qui a raffermi la base de cet état “ failli et défaillant” à l’article de la mort aujourd’hui…

Ils ont joué leur rôle de guides et d’éclaireurs avisés :

  • Dans la chaleur torride des étés Haïtiens … desséchants et pulvérisants mais vivifiants…

  • Dans le froid glacial et repoussant Mais créatif des pays du Nord.

Anthony, tu es Parti, loin de ta terre Natalie.

“La saison est désespérément plus triste” ... 
“Le temps, impavide,,est venu et reparti”. 
 ⁠” Ton pays n’a pas' encore cessé de parler par signes”...

Pis! On ne se parle même plus. On se tait et on regarde passer le temps. Le cœur en lambeaux. La conscience brisée.

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